Bruxelles, 21/05/2015 (Agence Europe) - Les lobbies industriels et certains services de la Commission européenne elle-même - l'ancienne Direction générale Santé et Consommateurs (DG SANCO) en tête - seraient responsables du retard pris par la Commission européenne pour agir contre les perturbateurs endocriniens en dépit de ses obligations légales, selon un rapport publié mercredi 20 mai par CEO (Corporate Europe Observatory) et le journaliste Stephan Horel, et selon les...