Bruxelles, 13/03/2014 (Agence Europe) - Les conservateurs et les verts justifient leur ligne de vote du mardi 11 mars qui a mené au rejet en plénière de la résolution non législative sur l'égalité entre les hommes et les femmes en 2012. À neuf voix près, le rapport d'Inés Zuber (GUE, portugaise) aurait pu passer. Il faisait référence à l'impact de l'austérité sur l'égalité hommes/femmes, ainsi qu'à l'avortement et à la prostitution. Les deux groupes politiques clament haut...