Bruxelles, 28/06/2013 (Agence Europe) - « La 'troïka' n'aurait rien à gagner en vigueur, en importance et en intensité » si le FMI se retirait, a estimé Jean-Claude Juncker, Premier ministre luxembourgeois, vendredi 28 juin à l'issue du Sommet. S'il reconnaît qu'au début de la crise, il pensait que l'Europe aurait dû faire face « par ses propres moyens », son expérience en tant qu'ex-président de l'Eurogroupe lui a démontré que le FMI « avait des réflexes et des instruments...