Bruxelles, 17/06/2013 (Agence Europe) - La perspective d'établir un « partenariat privilégié » (« statut avancé », selon sa dénomination initiale) ne semble pas claire pour tous en Tunisie. Certains analystes doutent notamment de l'opportunité d'engager le pays dans un accord qui suppose une orientation de fond qu'un gouvernement de transition serait mal avisé d'entreprendre.
L'UE, en l'occurrence sa délégation à Tunis, a contribué à l'organisation le 13 juin d'un séminaire...