Bruxelles, 21/01/2013 (Agence Europe) - Une restructuration de la dette chypriote à charge des créanciers privés (PSI) ne serait pas une solution dans la mesure où les bénéfices seraient limités et que le risque de contagion est élevé, a indiqué la Deutsche Bank dans un rapport publié vendredi 18 janvier. L'issue pourrait venir des revenus des privatisations, et, dans le pire des scénarios, de la recapitalisation directe des banques par le Mécanisme européen de Stabilité...