Bruxelles, 11/04/2012 (Agence Europe) - À l'heure où le Conseil de sécurité de l'ONU envisage des sanctions contre Damas et que deux jours de plus ont été donnés au gouvernement syrien pour effectuer son retrait militaire initialement promis pour le 10 avril, le groupe ADLE du Parlement européen s'impatiente. Son président, le Belge Guy Verhofstadt, voit dans ce camouflet infligé par Damas à la communauté internationale l'échec de la diplomatie et appelle à une action...