Bruxelles, 24/01/2011 (Agence Europe) - Massivement critiquée par plusieurs organisations de défense des droits de l'Homme, la Commission européenne a justifié lundi 24 janvier la rencontre que José Manuel Barroso a eue dans l'après-midi avec le président de l'Ouzbékistan, Islam Karimov, par la volonté de maintenir avec Tachkent un « dialogue critique, prioritairement sur les droits de l'Homme ». Les critiques accusant le président de la Commission européenne de fermer les yeux...