Bruxelles, 15/04/2010 (Agence Europe) - Véritable serpent de mer, l'éventualité que l'UE se dote d'un mécanisme d'ajustement aux frontières pour protéger son industrie du risque de délocalisation en cas d'échec des négociations climatiques internationales sur l'après-2012 est revenue sur le tapis jeudi 15 avril, par le biais d'une initiative conjointe de Nicolas Sarkozy et Silvio Berlusconi.
Dans une lettre jeudi à José Manuel Barroso, le président français et le Premier...