Le défaut de construction. Une fois de plus, je suis à l'écoute de Jaques Delors. D'abord son interview (« Le Monde » du 8 décembre), ensuite en tête à tête à Bruxelles. C'est la voix de l'équilibre, loin des anathèmes contre l'un ou l'autre protagoniste de l'imbroglio financier, et en même temps la voix ferme qui n'hésite pas à dénoncer les responsabilités et les lacunes de chacun. Quelle différence par rapport à ces forces politiques qui n'ont d'autre souci que...