Résumé en bref. La «petite réforme» du traité est politiquement acquise même si la décision formelle revient au Conseil européen de décembre. Elle est indispensable pour créer le mécanisme anticrise permanent destiné à remplacer l'actuel qui, établi pour faire face à la crise grecque, expirera en 2013. Pourquoi indispensable ? Parce qu'un mécanisme permanent ne peut, pour des raisons constitutionnelles, obtenir le consensus de l'Allemagne que si le traité l'autorise...