Bruxelles, 29/12/2000 (Agence Europe) - Les pays tiers concernés par l'affaire de la banane restent profondément divisés face à la réforme que l'Union européenne a récemment décidé d'entreprendre pour résoudre ce différend aussi douloureux que complexe. Les premières réactions à la formule contingentaire retenue, de type "1er arrivé, 1er servi", oscillent ainsi entre la satisfaction de l'Equateur et l'opposition "déterminée" du Panama, en passant par la discorde affichée...