La France a décidé de placer le français au cœur de la machinerie institutionnelle au cours des six mois de sa Présidence du Conseil de l’Union européenne. L’objectif est de promouvoir, aux côtés de l’anglais, l'autre langue de travail en usage au Conseil.Toutefois, cette approche interpelle certaines parties prenantes au sein de délégations nationales, pas toujours francophones, pour des raisons d’efficacité dans le travail diplomatique et législatif.
À l’instar de...