Bruxelles, 13/06/2016 (Agence Europe) - Le choix de la Commission européenne de se servir de la définition de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour identifier les perturbateurs endocriniens ne devrait pas être du goût de tous, en témoignent les résultats de la consultation publique menée du 26 septembre 2014 au 16 janvier 2015 (voir autre nouvelle).
La Commission semble avoir opté pour le plus petit dénominateur commun. Les organisations de santé souhaitaient, en effet,...