Bruxelles, 02/08/2011 (Agence Europe) - Dans une tribune publiée le 30 juillet dans le quotidien romain Il Messaggero, l'ancien président de la Commission européenne et ancien Premier ministre italien, Romano Prodi, critique vertement l' « égoïsme allemand » en se référant à la vente récente, par la Deutsche Bank, « de la quasi-totalité des huit milliards de titres de la dette publique italienne qu'elle détenait ». Une opération qui adresse aux marchés « un impressionnant...