Bruxelles, 03/08/2010 (Agence Europe) - Après le contrôleur allemand de la protection des données, c'est au tour des autorités françaises de protection des données, la Cnil, de se montrer sceptiques face au nouvel accord Swift de transfert des données bancaires vers les États-Unis à des fins de lute contre le terrorisme. Alors que l'accord est entré en vigueur le 1er août, et en dépit de garanties supplémentaires apportées, la Cnil s'interroge sur l'effectivité des mesures...