N’étant pas compétente pour apprécier le bien-fondé des décisions de retour de migrants ni leurs demandes de protection internationale, l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes (Frontex) ne peut être tenue responsable d’éventuels préjudices liés au refoulement vers la Turquie, a estimé le Tribunal de l'Union européenne dans un arrêt rendu mercredi 6 septembre (affaire T-600/21).
En 2016, plusieurs réfugiés syriens sont arrivés sur l’île grecque de...