Bruxelles, 29/11/2001 (Agence Europe) - Lors d'un débat souvent passionné sur la génétique humaine, avec des références fréquentes à la dignité humaine ou des valeurs chrétiennes pour les uns, aux chimères et même à Frankenstein pour d'autres, les députés européens ont été nombreux à répéter jeudi que personne n'a le monopole de l'éthique. Le vote sur le rapport de sa commission temporaire sur la génétique humaine l'a en quelque sorte confirmé, puisque le Parlement...