La Commission européenne n’a pas apporté beaucoup de réconfort, lundi 12 septembre à Strasbourg, aux eurodéputés qui lui demandaient une action forte pour empêcher les pratiques d’écoutes organisées dans certains États membres pour des motifs de sécurité nationale et ayant conduit, comme en Grèce, à mettre sur écoute des opposants politiques ou des journalistes.
Lors d’un débat sur le logiciel Predator et les pratiques plus générales de mise sur écoute au moyen de...