La Présidence française du Conseil de l’UE a poursuivi, le 6 avril, les travaux sur la réforme du Code frontières Schengen et a présenté à cette occasion une nouvelle proposition de compromis visant notamment à rapprocher les positions sur la définition de l’instrumentalisation des migrants, sur les possibilités de renvois de migrants entre États membres dans le cadre de patrouilles de police conjointes (article 23-a) ou sur les catégories de personnes pouvant être exclues...