Un opérateur historique peut mettre en place des pratiques visant à maintenir sa clientèle même dans le cadre d’un processus de libéralisation, mais il ne doit pas avoir recours à des pratiques qui, par l’exploitation des avantages émanant d'un monopole légal historique, sont susceptibles de produire des effets d’éviction pour des entreprises concurrentes aussi efficaces, a estimé l'avocat général de la Cour de justice de l'Union européenne, Athanasios Rantos, dans des...