Au lendemain du vote de la chambre basse du Parlement somalien en faveur d’une prolongation de facto de deux ans du mandat du président et du gouvernement fédéral somaliens, l’UE a haussé le ton, mardi 13 avril, brandissant la menace de sanctions.
Ce vote est intervenu le jour où des représentants de l’UE, de l’UA, de l’IGAD et de l’ONU avaient appelé à la reprise immédiate du dialogue entre dirigeants somaliens pour sortir de l’impasse le processus électoral qui...