Le Conseil de l’Union européenne a sanctionné, lundi 22 mars, onze responsables birmans du coup d’État du 1er février et de la répression à l’encontre des manifestants pacifiques qui a suivi et se poursuit dans le pays.
« Le nombre de meurtres a atteint une ampleur insupportable », a notamment expliqué le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas, pour justifier l’adoption des mesures restrictives qui se composent d’un gel des avoirs et d’une interdiction...