Le président de la commission spéciale du Parlement européen sur les interférences étrangères, Raphaël Glucksmann (S&D, français), a estimé, mardi 2 mars, qu’une plus grande volonté politique européenne était nécessaire pour lutter contre ces interférences.
« La première mesure à prendre, c’est un état d’esprit et c’est d’imposer un coût à ces attaques contre nos démocraties », a-t-il répondu à EUROPE. « Il y a quelque chose qui manque et qui rendra tout...