Les eurodéputés intervenus mardi 9 février dans le cadre du débat sur l’interdiction de facto de l’avortement en Pologne sont, pour l’essentiel, apparus lassés et inquiets de devoir de nouveau interpeller la Commission sur ce sujet, mais déterminés à le faire « chaque fois que cela sera nécessaire ».
C'est en tout cas l'engagement affiché, en session plénière et en conférence de presse, par la présidente du groupe socialiste, Iratxe García Pérez, imitée par nombre de...