Les chefs d’État ou de gouvernement européens ont décidé, dans la nuit de jeudi 10 à vendredi 11 décembre, de durcir le ton face à la Turquie, prévenant que l’UE était « déterminée à défendre ses intérêts et ceux de ses États membres ainsi qu'à préserver la stabilité régionale ».
Alors qu'en octobre (EUROPE B12572A1), les Européens avaient joué la carte de la diplomatie en laissant du temps à la Turquie pour revenir à une attitude plus constructive à leur...