Passages à tabac, fractures, décharges électriques, violences sexuelles : «dans de nombreux cas, les mauvais traitements infligés aux opposants biélorusses auraient été d'une nature si grave qu'ils constitueraient de la torture », souligne la commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe, Dunja Mijatović, dans une déclaration publiée lundi 21 septembre.
Face à la brutalité de la répression, elle rappelle aux autorités biélorusses que le droit international leur...