Les mesures pour un instrument temporaire d’aide au financement des systèmes nationaux de chômage partiel (SURE), annoncées par la Commission européenne jeudi 2 avril, ont reçu un accueil assez tiède au sein du Parlement européen, plutôt chaleureux sur son flanc droit et plutôt froid sur son flanc gauche, où il est reproché que la proposition soit construite sur un vaste système de prêts et non de subventions.
Ainsi, l'Espagnol Esteban González Pons, le vice-président du...