De l’avis de Carbon Market Watch, le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières, sur lequel planche la Commission européenne, n’a pas lieu d’être, puisque l’industrie lourde bénéficie déjà, depuis 2005, de quotas gratuits dans le cadre de l’ETS, lesquels ont donné lieu à des profits indus sans qu'il y ait eu preuve d'un risque avéré de fuites de carbone (délocalisations d'entreprises).
L’ONG l’a souligné, mercredi 1er avril, dans une prise de position sur...