Il n’y a «pas d’obstacles techniques » au débarquement et à la relocalisation rapide de migrants et demandeurs d’asile vers d’autres États membres, seulement des obstacles politiques.
C’est le constat qu’a dressé, lundi 20 janvier, Martin Schieffer, chef d’unité aux services aux Affaires intérieures (DG Home) à la Commission, devant la commission des Libertés civiles du Parlement européen.
Invité à revenir sur la mise en œuvre de la Déclaration de Malte...