La migration ne peut en aucun cas être un «outil de négociation » ou de « marchandage », a déclaré, mercredi 16 octobre, le commissaire aux Migrations, Dimitris Avramopoulos, en réaction aux nouvelles menaces du président turc, Recep Tayyip Erdoğan, de laisser entrer dans l’UE des millions de migrants. Mais le gouvernement grec doit aussi faire son travail et les procédures d’examen des demandes d’asile doivent être améliorées pour permettre de désengorger les camps...