Le président sortant du Conseil européen, Donald Tusk, a mis de côté le langage diplomatique, mardi 8 octobre, et critiqué sans détour le Premier ministre britannique, Boris Johnson, pour son inconscience vis-à-vis des enjeux entourant les modalités du Brexit, prévu, à ce stade, fin octobre.
Ce qui est en jeu, ce n'est pas de gagner à un jeu «stupide » qui consisterait à rejeter sur le camp d'en face la faute d'une sortie sans accord du Royaume-Uni de l'Union européenne, a...