Jeudi 19 septembre, le Parlement européen a appelé les autorités birmanes à mettre fin aux violences des forces armées à l’encontre de la minorité musulmane rohingya, qui, selon les Nations Unies, « constituent un génocide, des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité ».
Le Parlement invite donc une nouvelle fois le gouvernement dirigé par Aung San Suu Kyi et les forces de sécurité à mettre immédiatement fin aux infractions, aux meurtres et aux violences sexuelles...