Que la décision vienne ou non de la Commission et des États membres, tôt ou tard, les pays de l’UE en délicatesse avec le respect de l’État de droit finiront par être pénalisés financièrement et les « citoyens ne voudront plus que l’argent des contribuables » aille dans des pays qui ne respectent pas les valeurs fondamentales.
C’est le message qu'a fait passer, jeudi 5 septembre devant la commission Libertés civiles du Parlement européen, le Premier vice-président de...