Le président français, Emmanuel Macron, qui s'adressait à la presse bruxelloise, mardi 2 juillet, est venu à la défense de l’accord de libre-échange conclu avec le Mercosur trois jours plus tôt (EUROPE B12286A3).
Rappelant que le protectionnisme n’est pas dans l’ADN de la France, il a estimé que ce nouveau traité était le fruit d’une « ouverture sans naïveté ».
Toute négociation implique un degré de réciprocité : si celle-ci se traduit, entre autres, par des...