La Commission européenne a lancé, mercredi 3 avril, une réflexion sur la façon de muscler ses instruments de ‘contrôle’ du respect de l’État de droit alors que les fronts se sont multipliés ces dernières années avec les cas hongrois et polonais et, plus récemment, le problème soulevé par la Roumanie, dont la Commission craint qu’elle ne revienne en arrière sur ses progrès contre la corruption accomplis dans le cadre du Mécanisme de coopération et vérification.