Dans les procédures de sélection du personnel des institutions de l’Union européenne, les différences de traitement fondées sur la langue ne sont pas, en principe, admises, mais elles sont admissibles lorsqu’elles répondent à des besoins réels et sont justifiées au préalable, a estimé la Cour de justice de l'Union européenne dans des arrêts rendus mardi 26 mars (affaires C-377/16 et C-621/16 P).
Affaire C-377/16. L’Espagne demande l’annulation, pour...