Le président français, Emmanuel Macron, et la chancelière allemande, Angela Merkel, se sont dits ouverts, mercredi 27 février à Paris, à l'extension après le 29 mars du délai de négociation entre le Royaume-Uni et les Vingt-sept sur la sortie du Royaume-Uni de l'UE, tout en demandant à Londres de justifier les raisons d'une telle extension.
Sur le Brexit, « l'unité de vue totale » : il n'y aura pas de renégociation de l'accord sur un retrait britannique ordonné, a...