Dans des conclusions rendues mardi 26 février dans l'affaire C-129/18, l’avocat général auprès de la Cour de justice de l’UE, Manuel Campos Sánchez-Bordona a estimé qu’un mineur pris en charge dans le cadre du régime de la kafala algérienne par un citoyen de l’UE ne pouvait pas être considéré comme un « descendant direct » de ce dernier. Cependant, l’État membre de résidence de ce citoyen doit favoriser, après évaluation, l’entrée et le séjour du mineur...