Le président du Conseil européen, Donald Tusk, a demandé à l'Allemagne et à la France, mardi 22 janvier, d'envoyer « un signal clair » selon lequel leur coopération renforcée scellée dans le traité bilatéral d'Aix-la-Chapelle, signé le même jour, ne constitue « pas une alternative à la coopération de l'Europe dans son ensemble ».
Une coopération franco-allemande accrue doit œuvrer « pour l'intégration et non pas à la place de l'intégration », a-t-il...