Alors que l’incertitude plane toujours à quelques jours de la réunion du 4 décembre, où les ministres européens des Finances devraient tenter de s’accorder sur la proposition visant à taxer à hauteur de 3 % les revenus bruts des activités des plateformes numériques (‘digital services tax’ ou DST), le ministre français, Bruno Le Maire, garde le cap.
Mercredi 28 novembre, il a salué les propos de son homologue allemand, Olaf Scholz, à l’université...