L’Agence européenne de garde-côtes et garde-frontières (ex-Frontex), dont le mandat sera bientôt à nouveau renforcé pour disposer, fin 2020, d’une capacité d’intervention de 10 000 hommes, profite déjà de ressources accrues qui lui ont permis de consolider sa palette d’actions, loin de se limiter à la seule gestion des flux migratoires.
C’est le constat de son patron, le Français Fabrice Leggeri, venu faire le point mardi 20 novembre sur les activités de...