Comme pressenti, les dirigeants européens réunis le 18 octobre à Bruxelles, cette fois avec Theresa May, n’ont pas fait bouger les lignes sur la réforme du régime européen d’asile.
Lors d’une discussion de près de deux heures, ils ont, au contraire, envoyé un nouveau signal négatif à la Présidence autrichienne en ne donnant pas suffisamment de soutien à son concept de « solidarité obligatoire » qu’elle voulait explorer pour sortir de l’impasse de la réforme...