À moins de dix jours du référendum constitutionnel prévu le 17 mai au Burundi, l’Union européenne a exprimé, mardi 8 mai, ses vives préoccupations quant au « climat persistant d’intimidation et de répression » et à « l’absence d’approche consensuelle entre les différents groupes sociétaux et politiques », dans cette dernière phase préparatoire au référendum.
Dans une déclaration, la Haute Représentante de l’UE pour les Affaires étrangères et la...